Un thème d'importance vitale – et pourtant facilement passé sous silence...
C'est la raison pour laquelle AEGIS Luxembourg a invité le professeur Michel Georget, auteur de plusieurs ouvrages* sur la question, au château de Bettembourg, le 12 novembre dernier, pour nous parler de la face cachée d'une pratique considérée comme „une des acquisitions capitales de la médecine moderne“. On pense que la vaccination a enrayé certaines maladies infectieuses comme la variole ou la poliomyélite. Il n'en est rien, toutes les statistiques officielles le dévoilent à celui qui prend la peine de les interpréter correctement : on s'étonne alors de constater que la presque totalité des maladies infectieuses avait déjà diminué considérablement avant le développement des vaccins, grâce à l'amélioration des conditions de vie, sans oublier que d'autres maladies contre lesquelles il n'a jamais existé de vaccin, ont diminué en même temps. Pire, car les vaccinations peuvent causer toutes sortes de maladies chroniques invalidantes. Elles provoquent donc des coûts énormes à la société.
C'est à Napoléon Bonaparte que nous devons l'obligation de vacciner, toujours en vigueur dans certains pays, dont la France. Selon lui, tout soldat ayant survécu à la variole ou à la „variolisation“, était un gars „solide“, apte à participer, pour le bien de la patrie, aux batailles... En 2014, enfin, la France commence à discuter le bien-fondé de ces obligations...
Alors que les maladies contre lesquelles on vaccine ont disparu complètement des pays civilisés (polio, diphtérie), on continue de vacciner à tour de bras, comme si elles allaient réapparaître dès qu'on s'arrête... Un malade guéri du tétanos ne possède pas d'immunité contre cette maladie. On vaccine quand-même, alors que le vaccin ne peut, lui non plus, provoquer la moindre immunité. De nos jours ces trois maladies infectieuses sont d'ailleurs facilement curables !
Michel Georget a parlé à son auditoire des effets secondaires nombreux parfois très graves voire mortels qui peuvent se produire suite à une vaccination – même si la personne vaccinée se sent bien après l'injection, il se peut que son état se détériore au fil des ans pour produire des maladies chroniques... les maladies émergentes actuelles, pour n'en nommer que quelques unes : diabète insulino-dépendant, Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques et autres maladies auto-immunes – sans oublier les allergies (rhume des foins, asthme, problèmes de peau) et tous ces syndromes modernes du genre hyperactivité, dyslexie, problèmes de comportement jusqu'à l'autisme – sans oublier la mort subite du nourrisson. Ces pathologies coûtent à la société des sommes faramineuses.
Quand on vaccine contre des maladies infantiles, il ne faut pas d'étonner que l'âge d'apparition de ces maladies se déplace. Si un tout petit bébé ou un adulte est atteint, cela peut être bien grave ! Cela n'était presque jamais le cas avant la mise sur le marché de ces vaccins.
Ainsi, la santé publique souffre, les caisses de maladie vont vers la ruine... sont donc obligées d'augmenter les contributions que doit payer chaque assuré. Seule l'industrie pharmaceutique jubile...
www.aegis.lu
www.facebook.com/AegisLuxemburg
* Dangles, 2e édition 2011: Vaccinations - les vérités indésirables
Dangles, 2014: Vaccinations et santé publique - la réalité derrière le mythe
C'est la raison pour laquelle AEGIS Luxembourg a invité le professeur Michel Georget, auteur de plusieurs ouvrages* sur la question, au château de Bettembourg, le 12 novembre dernier, pour nous parler de la face cachée d'une pratique considérée comme „une des acquisitions capitales de la médecine moderne“. On pense que la vaccination a enrayé certaines maladies infectieuses comme la variole ou la poliomyélite. Il n'en est rien, toutes les statistiques officielles le dévoilent à celui qui prend la peine de les interpréter correctement : on s'étonne alors de constater que la presque totalité des maladies infectieuses avait déjà diminué considérablement avant le développement des vaccins, grâce à l'amélioration des conditions de vie, sans oublier que d'autres maladies contre lesquelles il n'a jamais existé de vaccin, ont diminué en même temps. Pire, car les vaccinations peuvent causer toutes sortes de maladies chroniques invalidantes. Elles provoquent donc des coûts énormes à la société.
C'est à Napoléon Bonaparte que nous devons l'obligation de vacciner, toujours en vigueur dans certains pays, dont la France. Selon lui, tout soldat ayant survécu à la variole ou à la „variolisation“, était un gars „solide“, apte à participer, pour le bien de la patrie, aux batailles... En 2014, enfin, la France commence à discuter le bien-fondé de ces obligations...
Alors que les maladies contre lesquelles on vaccine ont disparu complètement des pays civilisés (polio, diphtérie), on continue de vacciner à tour de bras, comme si elles allaient réapparaître dès qu'on s'arrête... Un malade guéri du tétanos ne possède pas d'immunité contre cette maladie. On vaccine quand-même, alors que le vaccin ne peut, lui non plus, provoquer la moindre immunité. De nos jours ces trois maladies infectieuses sont d'ailleurs facilement curables !
Michel Georget a parlé à son auditoire des effets secondaires nombreux parfois très graves voire mortels qui peuvent se produire suite à une vaccination – même si la personne vaccinée se sent bien après l'injection, il se peut que son état se détériore au fil des ans pour produire des maladies chroniques... les maladies émergentes actuelles, pour n'en nommer que quelques unes : diabète insulino-dépendant, Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques et autres maladies auto-immunes – sans oublier les allergies (rhume des foins, asthme, problèmes de peau) et tous ces syndromes modernes du genre hyperactivité, dyslexie, problèmes de comportement jusqu'à l'autisme – sans oublier la mort subite du nourrisson. Ces pathologies coûtent à la société des sommes faramineuses.
Quand on vaccine contre des maladies infantiles, il ne faut pas d'étonner que l'âge d'apparition de ces maladies se déplace. Si un tout petit bébé ou un adulte est atteint, cela peut être bien grave ! Cela n'était presque jamais le cas avant la mise sur le marché de ces vaccins.
Ainsi, la santé publique souffre, les caisses de maladie vont vers la ruine... sont donc obligées d'augmenter les contributions que doit payer chaque assuré. Seule l'industrie pharmaceutique jubile...
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* Dangles, 2e édition 2011: Vaccinations - les vérités indésirables
Dangles, 2014: Vaccinations et santé publique - la réalité derrière le mythe