28ème chapitre magistral de la commanderie de Luxembourg de l’Ordre International des Anysetiers Intronisation de six nouveaux membres
Mondorf-les-Bains. C’est dans l’espace événementiel « Chapito » du Casino 2000 à Mondorf-les Bains que la commanderie du Grand-Duché de Luxembourg de L’Ordre International des Anysetiers avec siège social à Paris, a tenu son 28ème chapitre magistral. Dans une salle magnifiquement décorée dans les couleurs de notre Ordre, la soirée a été rehaussée par la présence de Noble Dame Martine Désirant, grand-maître de la commanderie de la Principauté de Liège, chancelier de la région 6 (Europe du Nord-Nord Est) et délégué du Grand Conseil et Messire Horst Lechner, grand-maître honoraire de la commanderie d’Autriche et vice président du GCO, ainsi que des dignitaires provenant des commanderies suivantes : Alsace, Autriche, Champagne, Cologne, Comté de l’ Yssingelais, Euregio, Lorraine, Commanderie du Lyonnais, Région Rhein Ruhr, Sarre et Val de Metz.
Après l’entrée du cortège magistral, commenté par le prévôt et maître de cérémonie Lionel Fantauzzo, la cérémonie a commencé par des discours d’ouverture prononcé par le délégué du Grand Conseil de l’Ordre et le chancelier de la région 6 suivi d’une allocution du vice-président Horst Lechner . Ensuite ce fut le tour au grand maître Alex Sulkowski d’officialiser la nomination de notre Maître Pol Mattern dans sa qualité de Prévost Messager, de déclarer ouvert le Grand Chapitre et de procéder selon les règles ancestrales de l’ordre à la solennelle cérémonie d’adoubement et d’intronisation.
En sa qualité de sénéchal, Tanja Sulkowski, a remémoré l’histoire et la chronique glorieuse de l’ordre des anysetiers. Celui-ci fût enregistré en 1263 au Châtelet par Etienne Boileau, prévôt de Paris. En ce temps-là, les anysetiers écrasaient les graines d’anis avec le pilon de bronze qui est l’un des symboles de l’Ordre. L’usage à bon escient de l’essence extraite de ces précieuses graines et les bienfaits qui en résultaient, valurent divers privilèges aux anysetiers. Ils en jouissaient jusqu’aux temps où leur vénérable corporation, comme tant d’autres, fut réduite à quelques membres qui entretinrent la flamme anysetière à travers le temps. Mais heureusement, depuis nombre d’années déjà, leur idéal fut adopté par d’éminents médecins, pharmaciens, chimistes, juristes, historiens, gens de lettres, artistes, gastronomes, qui entreprirent de rénover l’Ordre des Anysetiers et de faire revivre ses ancestrales traditions. Ceci par la création de commanderies qui rayonnent aujourd’hui sur plus de cent provinces à travers le monde.
Par la suite le connétable, Guy Pauly, a retracé les origines de l’ordre qui se retrouvent très loin dans le temps. En effet, ils remontent à Saint-Serge, aujourd’hui patron de l’ordre, au troisième siècle, citoyen romain de noble lignée qui commandait comme officier de l’empereur Maximien une cohorte d’auxiliaires des légionnaires en Syrie.
Il y soignait très charitablement malades et blessés et les guérissait en employant des plantes médicinales. Parmi celles-ci, la fleur d’anis était sa préférée en raison de ses vertus, arôme et pouvoirs. Dénoncé pour ses croyances, il eut la tête tranchée à Résapha, le 7 octobre de l’an 297. Et l’orateur de souligner que si de nos jours les anysetiers ne préparent plus l’anis, ils se consacrent par contre à la glorification de cette merveille de la nature. Dans ce sens ils pratiquent la courtoisie, la fraternité et la charité envers tout le monde, protègent les Arts, honorent les Muses et cultivent les plus belles fleurs de la vie.
Après la lecture des canons et préceptes de l’ordre, le grand maître Alex Sulkowski, a intronisé suivant les règles antiques des chevaliers de la Table Ronde les postulants suivants dans la commanderie : Lionel Roger Bieder, entrepreneur ; Marcel Dell, directeur financier e.r. ; Joachim Engstler, architecte, Thierry Feltgen, investment analyst ; Ernest Freylinger, conseil en resources humaines, ; Alan Varrow, retraité.
Avant de clôturer le chapitre magistral, le grand maître a rappelé à la réunion que l’année passée on avait soutenu le projet de construction d’une école au sud du Madagascar par Tsara-Fo asbl. Ce projet ayant été terminé il a été décidé de soutenir un nouveau projet organisé par les mêmes personnes sous l’égide de EDI Madagascar – Enfants défavorisés de l’ile de Madagascar asbl avec un montant de 4.000,00 Euro. Ce projet se trouve dans le district de Brickaville.
Un menu festif, choisi par notre maître de bouche Edgar Schlabertz, préparé par la brigade de cuisine du Casino 2000 et bien arrosé soit par une boisson anisée soit par un Pinot Blanc du Domaine d’Elvange ou encore d’un excellent rouge de Folonari Valpolicella DOC (Veneto) couronnait la soirée animée en surplus avec beaucoup de verve par l’orchestre de danse « Chic Planet ».
AS
Après l’entrée du cortège magistral, commenté par le prévôt et maître de cérémonie Lionel Fantauzzo, la cérémonie a commencé par des discours d’ouverture prononcé par le délégué du Grand Conseil de l’Ordre et le chancelier de la région 6 suivi d’une allocution du vice-président Horst Lechner . Ensuite ce fut le tour au grand maître Alex Sulkowski d’officialiser la nomination de notre Maître Pol Mattern dans sa qualité de Prévost Messager, de déclarer ouvert le Grand Chapitre et de procéder selon les règles ancestrales de l’ordre à la solennelle cérémonie d’adoubement et d’intronisation.
En sa qualité de sénéchal, Tanja Sulkowski, a remémoré l’histoire et la chronique glorieuse de l’ordre des anysetiers. Celui-ci fût enregistré en 1263 au Châtelet par Etienne Boileau, prévôt de Paris. En ce temps-là, les anysetiers écrasaient les graines d’anis avec le pilon de bronze qui est l’un des symboles de l’Ordre. L’usage à bon escient de l’essence extraite de ces précieuses graines et les bienfaits qui en résultaient, valurent divers privilèges aux anysetiers. Ils en jouissaient jusqu’aux temps où leur vénérable corporation, comme tant d’autres, fut réduite à quelques membres qui entretinrent la flamme anysetière à travers le temps. Mais heureusement, depuis nombre d’années déjà, leur idéal fut adopté par d’éminents médecins, pharmaciens, chimistes, juristes, historiens, gens de lettres, artistes, gastronomes, qui entreprirent de rénover l’Ordre des Anysetiers et de faire revivre ses ancestrales traditions. Ceci par la création de commanderies qui rayonnent aujourd’hui sur plus de cent provinces à travers le monde.
Par la suite le connétable, Guy Pauly, a retracé les origines de l’ordre qui se retrouvent très loin dans le temps. En effet, ils remontent à Saint-Serge, aujourd’hui patron de l’ordre, au troisième siècle, citoyen romain de noble lignée qui commandait comme officier de l’empereur Maximien une cohorte d’auxiliaires des légionnaires en Syrie.
Il y soignait très charitablement malades et blessés et les guérissait en employant des plantes médicinales. Parmi celles-ci, la fleur d’anis était sa préférée en raison de ses vertus, arôme et pouvoirs. Dénoncé pour ses croyances, il eut la tête tranchée à Résapha, le 7 octobre de l’an 297. Et l’orateur de souligner que si de nos jours les anysetiers ne préparent plus l’anis, ils se consacrent par contre à la glorification de cette merveille de la nature. Dans ce sens ils pratiquent la courtoisie, la fraternité et la charité envers tout le monde, protègent les Arts, honorent les Muses et cultivent les plus belles fleurs de la vie.
Après la lecture des canons et préceptes de l’ordre, le grand maître Alex Sulkowski, a intronisé suivant les règles antiques des chevaliers de la Table Ronde les postulants suivants dans la commanderie : Lionel Roger Bieder, entrepreneur ; Marcel Dell, directeur financier e.r. ; Joachim Engstler, architecte, Thierry Feltgen, investment analyst ; Ernest Freylinger, conseil en resources humaines, ; Alan Varrow, retraité.
Avant de clôturer le chapitre magistral, le grand maître a rappelé à la réunion que l’année passée on avait soutenu le projet de construction d’une école au sud du Madagascar par Tsara-Fo asbl. Ce projet ayant été terminé il a été décidé de soutenir un nouveau projet organisé par les mêmes personnes sous l’égide de EDI Madagascar – Enfants défavorisés de l’ile de Madagascar asbl avec un montant de 4.000,00 Euro. Ce projet se trouve dans le district de Brickaville.
Un menu festif, choisi par notre maître de bouche Edgar Schlabertz, préparé par la brigade de cuisine du Casino 2000 et bien arrosé soit par une boisson anisée soit par un Pinot Blanc du Domaine d’Elvange ou encore d’un excellent rouge de Folonari Valpolicella DOC (Veneto) couronnait la soirée animée en surplus avec beaucoup de verve par l’orchestre de danse « Chic Planet ».
AS