Que devient Peter Körner? Parti du restaurant «Les Roses» de Mondorf depuis 2009, c'est dans sa mère patrie l'Allemagne que Peter Körner a passé ces deux années, pour y créer un concept de café restaurant chic, tendance et très accessible.
«Manin», café restaurant à Saint Wendel, en Allemagne. «Manin» comme la première syllabe de Marion et Nina, les deux femmes qui tenaient une brasserie dans cette bâtisse du 18e siècle. Cette brasserie traditionnelle était fermée depuis deux ans et le frère de Peter Körner, Klaus, propriétaire des lieux, souhaitait en faire quelque chose. Quand on a un frère comme Peter, il semble que l'idée soit évidente. Depuis deux ans, le chef cuisinier n'a pas arrêté: mettre au point le concept, imaginer la carte, recruter du personnel, encore, toujours, trouver les bonnes personnes… Tout en vivant au Luxembourg. «Je voulais continuer à prendre les petits-déjeuners en famille et amener mes filles à l'école tous les matins», sourit-il. Saint Wendel est à une heure de route du Grand Duché. Pas énorme, mais pas tout près non plus.
Cette jolie maison ancienne qui abrite désormais les très branchés «Manin» café et restaurant côte à côte, a été aménagée dans un style industriel, néanmoins très chaleureux. L'affaire marche très bien et Peter Körner a réussi son pari. «C'était vraiment un défi parce qu'ici, personne ne me connaît!» Une cuisine simple, de bons produits, une jolie présentation et des tarifs très abordables dans un beau cadre. Voilà l'idée de départ… qu'il a fallu mener à bien.
Peter Körner, qui avait décroché une étoile Michelin avec sa brigade, en 2002, lorsqu'il était chef des «Roses»: «Fin décembre, je rentre au Luxembourg. Cela fait plus de 20 ans que j'y vis, j'y ai tous mes amis. Mais avant toute chose, je vais d'abord prendre un peu de vacances. Pendant deux ans, je n'ai presque pas arrêté.» Au Luxembourg, pourquoi pas le même concept? «Oh non, je n'ai pas envie de monter une affaire», sourit-il. «Je vais voir. Pour le moment je ne sais pas encore.» Il se verrait plutôt dans un «petit truc sympa». On a hâte d'aller y goûter sa cuisine, dans ce «petit truc sympa». (A.F.)
«Manin», café restaurant à Saint Wendel, en Allemagne. «Manin» comme la première syllabe de Marion et Nina, les deux femmes qui tenaient une brasserie dans cette bâtisse du 18e siècle. Cette brasserie traditionnelle était fermée depuis deux ans et le frère de Peter Körner, Klaus, propriétaire des lieux, souhaitait en faire quelque chose. Quand on a un frère comme Peter, il semble que l'idée soit évidente. Depuis deux ans, le chef cuisinier n'a pas arrêté: mettre au point le concept, imaginer la carte, recruter du personnel, encore, toujours, trouver les bonnes personnes… Tout en vivant au Luxembourg. «Je voulais continuer à prendre les petits-déjeuners en famille et amener mes filles à l'école tous les matins», sourit-il. Saint Wendel est à une heure de route du Grand Duché. Pas énorme, mais pas tout près non plus.
Cette jolie maison ancienne qui abrite désormais les très branchés «Manin» café et restaurant côte à côte, a été aménagée dans un style industriel, néanmoins très chaleureux. L'affaire marche très bien et Peter Körner a réussi son pari. «C'était vraiment un défi parce qu'ici, personne ne me connaît!» Une cuisine simple, de bons produits, une jolie présentation et des tarifs très abordables dans un beau cadre. Voilà l'idée de départ… qu'il a fallu mener à bien.
Peter Körner, qui avait décroché une étoile Michelin avec sa brigade, en 2002, lorsqu'il était chef des «Roses»: «Fin décembre, je rentre au Luxembourg. Cela fait plus de 20 ans que j'y vis, j'y ai tous mes amis. Mais avant toute chose, je vais d'abord prendre un peu de vacances. Pendant deux ans, je n'ai presque pas arrêté.» Au Luxembourg, pourquoi pas le même concept? «Oh non, je n'ai pas envie de monter une affaire», sourit-il. «Je vais voir. Pour le moment je ne sais pas encore.» Il se verrait plutôt dans un «petit truc sympa». On a hâte d'aller y goûter sa cuisine, dans ce «petit truc sympa». (A.F.)