Inauguration de la «Däichhal» avec "Juli"
C'est au groupe de rock allemand Juli que reviendra l'honneur d'inaugurer demain la nouvelle Däichhal d'Ettelbruck. Une première qui scelle une prometteuse première collaboration entre la Ville d'Ettelbruck et l'Atelier de Luxembourg.
«Pour ce premier concert, nous étions à la recherche d'un organisateur qui peut se prévaloir d'une certaine expérience. Et comme au Luxembourg le choix est restreint, nous nous sommes tournés vers l'Atelier», explique Jean-Paul Schaaf, bourgmestre d'Ettelbruck.
«Dès la phase de construction, nous avons été consultés quant à l'aménagement technique de la salle pour l'organisation de concerts. Avec notre expérience et notre savoir-faire nous avons un regard complémentaire à celui d'un architecte», fait valoir Michel Welter, responsable de la programmation et des relations presse de la salle de concerts de Luxembourg.
En plus de donner ses conseils, l'Atelier a pris à sa charge la production du premier concert à la Däichhal : éclairage, sonorisation et autre aménagements techniques. Mais aussi la réservation des places. Avec une particularité: le premier mois de la vente de billets a été réservé aux habitants d'Ettelbruck et de la région. «Ce concert étant financé par de l'argent public, il semblait évident que nos habitants puissent en profiter prioritairement», explique Jean-Paul Schaaf. Ainsi, 1.780 billets ont été vendus au prix de 15 euros aux «locaux».
C'est donc les Allemands de Juli qui essuieront les plâtres de la Däichhal . «Un groupe pas trop pointu, au rock-pop sympathique, qui nous a semblé parfait pour une inauguration. On n'allait tout de même pas faire une soirée metal», estime Michel Welter. «Nous avions donné carte blanche à l'Atelier pour trouver un groupe disponible à cette période mais aussi prêt à inaugurer une nouvelle salle, avec tous les risques que cela comporte», indique Jean-Paul Schaaf.
La Däichhal peut accueillir jusqu'à 3.000 spectateurs. Une capacité convoitée par l'organisateur de Luxembourg qui avec ses 1.000 places rue de Hollerich se retrouve souvent à l'étroit. La Däichhal pourrait-elle devenir le nouveau port d'attache de l'Atelier après l'abandon récent du projet «A-battoir»? Michel Welter reste prudent, même si des collaborations identiques avec d'autres communes ne seraient a priori pas à exclure. Jean-Paul Schaaf, malgré de «concrets espoirs», préfère attendre «le bilan de la soirée de mercredi. En plus des contrôles d'isolation acoustique effectués demain tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, l'organisation sera également passée au crible. Si c'est un succès, pourquoi pas? Nous sommes demandeurs», explique le bourgmestre.
thi
Billets encore disponibles sur www.atelier.lu
«Pour ce premier concert, nous étions à la recherche d'un organisateur qui peut se prévaloir d'une certaine expérience. Et comme au Luxembourg le choix est restreint, nous nous sommes tournés vers l'Atelier», explique Jean-Paul Schaaf, bourgmestre d'Ettelbruck.
«Dès la phase de construction, nous avons été consultés quant à l'aménagement technique de la salle pour l'organisation de concerts. Avec notre expérience et notre savoir-faire nous avons un regard complémentaire à celui d'un architecte», fait valoir Michel Welter, responsable de la programmation et des relations presse de la salle de concerts de Luxembourg.
En plus de donner ses conseils, l'Atelier a pris à sa charge la production du premier concert à la Däichhal : éclairage, sonorisation et autre aménagements techniques. Mais aussi la réservation des places. Avec une particularité: le premier mois de la vente de billets a été réservé aux habitants d'Ettelbruck et de la région. «Ce concert étant financé par de l'argent public, il semblait évident que nos habitants puissent en profiter prioritairement», explique Jean-Paul Schaaf. Ainsi, 1.780 billets ont été vendus au prix de 15 euros aux «locaux».
C'est donc les Allemands de Juli qui essuieront les plâtres de la Däichhal . «Un groupe pas trop pointu, au rock-pop sympathique, qui nous a semblé parfait pour une inauguration. On n'allait tout de même pas faire une soirée metal», estime Michel Welter. «Nous avions donné carte blanche à l'Atelier pour trouver un groupe disponible à cette période mais aussi prêt à inaugurer une nouvelle salle, avec tous les risques que cela comporte», indique Jean-Paul Schaaf.
La Däichhal peut accueillir jusqu'à 3.000 spectateurs. Une capacité convoitée par l'organisateur de Luxembourg qui avec ses 1.000 places rue de Hollerich se retrouve souvent à l'étroit. La Däichhal pourrait-elle devenir le nouveau port d'attache de l'Atelier après l'abandon récent du projet «A-battoir»? Michel Welter reste prudent, même si des collaborations identiques avec d'autres communes ne seraient a priori pas à exclure. Jean-Paul Schaaf, malgré de «concrets espoirs», préfère attendre «le bilan de la soirée de mercredi. En plus des contrôles d'isolation acoustique effectués demain tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, l'organisation sera également passée au crible. Si c'est un succès, pourquoi pas? Nous sommes demandeurs», explique le bourgmestre.
thi
Billets encore disponibles sur www.atelier.lu